A la rencontre des canards et des porcelets…
Le goût des graines…
L’heure du repas…
Un décor du spectacle…
Bord de scène avec le metteur en scène et les marionnettistes…
Jeudi 13 décembre, à 8 heures, nous sommes partis à Gratens pour chercher des élèves puis à Toulouse. On est arrivé à l’Espace Bonnefoy pour voir le spectacle «Pars de là!» de la compagnie Tara Théâtre, c’était un spectacle de théâtre noir de marionnettes (les marionnettistes étaient dans l’obscurité derrière le décor). Avant que le spectacle commence nous sommes allés au premier étage pour voir une petite exposition d’œuvres d’art. Juste après le spectacle, nous avons fait un bord de scène : les marionnettistes et la metteur en scène nous ont rejoint pour qu’on leur donne nos impressions et qu’on leur pose des questions. Nous avons pu voir de près les marionnettes et les décors.
Nous sommes ensuite sortis pour aller à Sisqa, le salon de la qualité alimentaire, au parc des expositions. Il y avait beaucoup de classes et nous avons fait une photo de groupe puis nous avons commencé à faire des ateliers. Au premier nous devions passer dans une cabine et deviner l’odeur qu’il y avait à l’intérieur. Dans un autre atelier on devait ressentir et décrire le goût des graines qu’utilisaient les Indiens pour digérer et avoir l’haleine fraîche. On devait la toucher dans la main, puis la mettre dans la bouche on croyait qu’elles étaient plus grande dans la bouche que sur la main car on a plus de récepteur sur la langue que sur la mains. Après on est allé dans la ferme. Il y avait des abeilles avec la combinaison. Un apiculteur nous a expliqué qu’une abeille pondait dix œufs avec la gelée royale et que la première qui naissait tuait toute les autres et devenait la reine. Il y avait des chèvres et des chevreaux, il y avait des porcelets avec leur mère, la truie, des brebis de Lacaune avec leurs agneaux, des chevaux mérens qui étaient nerveux, des truites, des poussins et il y avait différentes vaches par exemple, la blonde d’Aquitaine. Et nous n’avons pas pu voir les ânes car nous devions nous dépêcher pour rentrer à l’école .
CAROLINE