Monument aux morts ?

Les Monuments aux morts, commémoration de l’armistice du 11 novembre 1918

 

Un monument aux morts est un monument commémoratif érigé pour commémorer et honorer les soldats, et plus généralement les personnes, tués ou disparus par faits de guerre.
Les monuments aux morts n’existent quasiment pas avant le XXe siècle : les monuments commémorent les victoires militaires, et portent rarement les noms des soldats morts, à moins qu’il ne s’agisse de personnalités.
L’Arc de Triomphe de l’Étoile à Paris, commandé par Napoléon, inauguré en 1806, porte seulement le nom d’officiers supérieurs, qui ne moururent pas forcément au combat, et parfois encore vivants.

C’est après la grande guerre que vont être construits dans les communes françaises les quelques 30 000 monuments aux morts que l’on peut encore voir aujourd’hui. Suite à cette hécatombe (1 400 000 morts, 3 000 000 blessés, sur 8 millions de mobilisés) quelques communes élevèrent des monuments aux morts avec des messages résolument pacifistes. Celui de Strasbourg, par exemple, ne porte pas de noms de pays puisque la région a été au gré des guerres soit Française soit Allemande. Il représente une mère (symbolisant la ville de Strasbourg) tenant sur ses genoux ses deux enfants mourants, l’un Allemand et l’autre Français. Ils se sont combattus et devant la mort enfin ils se rapprochent.

 

Le monument aux morts de Riom, dans le Puy-de-Dôme, est dédié à la mémoire des poilus fusillés pour l’exemple. Il est inscrit : « Aux victimes innocentes des conseils de guerre 1914 – 1918 et à celles de la milice et de la Gestapo 1939 – 1944 ».

 

Sur le monument aux morts de Gentioux, dans la Creuse, une stèle est gravé le nom des 58 soldats morts pendant la guerre. En bas du monument, un écriteau porte l’inscription « Maudite soit la guerre ». Une sculpture représente un orphelin habillé avec la blouse de l’écolier, au visage triste ; il lève le bras en montrant les 58 noms gravés, comme s’il voulait se venger des responsables de cette guerre.
Plus que la célébration de la victoire, nous devons célébrer chaque 11 novembre (depuis 1922, année où cette date a été déclarée fête nationale) l’arrêt d’un conflit horrible et dénoncer l’horreur, les misères et les morts que causent les guerres.

 

Le dernier vétéran français de la guerre de 14-18, Lazare Ponticelli, est décédé le 12 mars 2008, à 111 ans.

 

Vocabulaire :

 

Un monument mortuaire n’abritant pas de tombe est un cénotaphe.

 

Un monument élevé sur un champ de bataille, proche d’un cimetière militaire est un mémorial. (Exemple : celui de Douaumont).

 

Morts pour la France

 

L’attribution de la mention « Mort pour la France » est une opération relative à l’état civil qui fait l’objet des articles L 488 à L 492bis du Code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre. C’est une récompense morale visant à honorer le sacrifice des combattants et des victimes de la guerre. Ont droit à cette distinction, les membres des forces armées françaises tués au combat ou morts des suites de maladies contractées ou d’accidents survenus en service commandé au cours de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, des Guerres d’Indochine et d’Algérie, des combats du Maroc et de Tunisie ainsi que les victimes civiles de nationalité française tuées lors de ces conflits.

 

Morts pour la France inscrits sur le Monuments aux morts de notre commune

 

Joseph Antoine Yves ADDÉ était Cannonnier conducteur au 18ème régiment d’Artillerie Divisionnaire. Il est né à Cépet le 19 janvier 1893. Il est mort pour la France le 22 août 1914, tué à l’ennemi à Bertrix, sur la route de Libramont, à l’entrée du bois, en Belgique. Il avait 21 ans.

 

Guiraud CAROL était Soldat au 14ème régiment d’Infanterie. Il est né le 2 mai 1884 à Montjoire. Il est mort pour la France des suites de blessures de guerre le 9 juin 1915 à l’hôpital militaire d’Amiens dans la Somme. Il avait 31 ans.

 

Jean-Marie CURBILIÉ était Soldat de 2ème classe au 296ème Régiment d’Infanterie. Il est né à Cépet le 12 juin 1886. Il est mort pour la France le 23 octobre 1916, tué à l’ennemi entre Le Transloy et Sailly-Saillissel dans la Somme. Il avait 30 ans.

 

Jean DUPONT était Soldat au 100ème Régiment d’Infanterie. Il est né le 5 octobre 1896 à Montberon. Il est mort pour la France le 11 août 1918, tué à l’ennemi dans le secteur de Reims, dans la Marne. Il avait 22 ans.

 

François Marguerite Germain DELCOUS était Soldat de 2ème classe au 5ème Régiment d’Infanterie. Il est né le 31 juiIlet 1897 à Cépet. Il est mort pour la France le 1er septembre 1918, tué à l’ennemi, à Crouy dans l’Aisne. Il avait 21 ans.

 

Jean Marie RAYNOUD était Soldat au 416ème régiment d’Infanterie, 10ème Compagnie. Il est né le 23 octobre 1886 à Cépet. Il est mort pour la France le 29 mai 1918, tué à l’ennemi, à Dravegny dans l’Aisne. Il avait 32 ans.

 

Jean Germain TERRANCLE était Soldat au 297ème Régiment d’Infanterie. Il est né le 13 septembre 1898 à Villariès. Il est mort pour la France des suites de blessures de guerre le 22 août 1918 à Catenoy dans l’Oise. Il avait 20 ans.

 

Jean Marie VIÉ était Soldat au 142ème Régiment d’Infanterie. Il est né le 21 août 1897 à Launaguet. Il est mort pour la France des suites de maladie contractée en service le 9 août 1916 à l’hôpital de Millau dans l’Aveyron. Il avait 18 ans.

 

Antoine VIGNES était Adjudant au 2ème Régiment de Hussards. Il est né le 11 août 1880 à Cépet. Il est mort pour la France le 1er juin 1916, tué à l’ennemi, dans une tranchée de 1ère ligne du quartier Est à Baconnes dans la Marne. Il avait 35 ans.

 

Nous avons trouvé dans les registres de l’État-civil des transcriptions d’actes de décès de Morts pour la France d’origine cépétoise mais qui sont honorés sur d’autres monuments : Henri LAGÜE, Dominique DÉJEAN, Pierre LAPALUE ou Pierre MAURY.

 

Travail réalisé par les élèves de CM1 en octobre 2017, résultat de recherches réalisées sur les Morts pour la France honorés par le Monument aux morts de notre commune à partir d’extraits des registres d’État civil, des fiches militaires trouvées sur le site internet « Mémoire des hommes » ou d’informations trouvées sur le site « MémorialGenWeb » et avec l’aide de Patricia, Secrétaire de Mairie.

 

Pourquoi faut-il se souvenir ?

 

« Savoir, c’est se souvenir. » Aristote (philosophe grec de l’antiquité)

 

« Les longs souvenirs font les grands peuples. » Charles de Montalembert (homme politique français du 19ème siècle)

 

« Entre le passé où sont nos souvenirs et l’avenir où sont nos espérances, il y a le présent où sont nos devoirs. » Henri Lacordaire (religieux et homme politique français du 19ème siècle)

 

Nous avons discuté en classe , en parallèle à un travail en Histoire, sur le souvenir, le « devoir » ou « travail » de mémoire à l’occasion de la cérémonie commémorative de l’armistice du 11 novembre.
https://ahp.li/69919f293aa9c93e924b.wav
(cliquez sur le lien, extraits du débat en CM1 d’octobre 2017)
Notre école sera  présente cette année encore à la cérémonie commémorative du 11 novembre, vous pourrez vous joindre à nous.

 

Pétanque mémento

 

 

 

 

 

Pétanque en CM1

 

Règles/ Stratégie – rappels

 

– Il faut dessiner le cercle de lancer ou poser le cerceau de lancer avant de lancer le but.
– L’équipe A pointe sa première boule. L’équipe B choisit de tirer. Si les deux boules sortent de l’aire de jeu, elles ne comptent plus, l’équipe B doit rejouer.
– Si la boule de chaque équipe est à la même distance du but, c’est à l’équipe qui a joué en dernier de rejouer.
– Il faut décider avec les partenaires de la tactique : point ou tir, avant ou après le but, en fonction du nombre de boules restantes, de la situation autour du but, etc.
– Le lancer du but est aussi un choix tactique dépendant des points forts de l’équipe ou de l’équipe adverse : un joueur peut préférer jouer court ou long, sur sablette plutôt que sur gravier…
– Il faut regarder l’adversaire jouer, cela donne indication sur ce qu’il faudra faire ou non.
– Avant de pointer, j’observe le terrain, je prévois le trajet de la boule : donnée (endroit où elle va tomber), trajectoire de lancer (roulette, demi-portée, portée), effet à donner à la boule (la retenir, c’est-à-dire la faire tourner en sens contraire du lancer pour freiner son impact au sol ; ou la faire tourner à droite ou à gauche pour qu’elle change de direction à son impact au sol).
– Avant de tirer, j’observe le terrain, je prévois la manière de tirer : rafle ou fer (s’il y a du sable, une boule tirée devant pourra assez facilement rester sur place). J’essaie aussi de prévoir les « contres » (la boule que je tire ou ma boule vont peut-être percuter d’autres boules ou si je rate mon tir, c’est ma boule qui va percuter d‘autres boules).

 

 

 

 

Vérifier quelle boule est la plus proche du but

Je peux le voir à l’œil nu : méthode du milieu (médiatrice, voir en Collège avec le Professeur de Mathématiques …)

 

 

Je mesure avec le mètre : méthode des tangentes (voir en Collège avec le Professeur de Mathématiques …)
Je ne dois faire bouger ni la boule ni le but (sinon le point est perdu), je cale l’extrémité du mètre contre la boule, je tire le mètre vers le but, je mesure en regardant au-dessus du but, au ras du but. Je peux déplacer, après l’avoir marquée, une boule qui me gêne pour mesurer.
La mesure du but incombe au joueur qui a joué en dernier ou à l’un de ses coéquipiers.
Si les deux boules sont à égale distance et qu’il ne reste aucune boule à jouer, la mène est annulée.

 

 

Position et geste pour pointer (exemple en jouant debout)

 

– La boule se lance sous la main.
– Je me tiens bien droit, les pieds au sol alignés, les bras le long du corps.
– Le bras doit rester dans le même plan (de côté).
– Je lance la boule bras tendu ; pour être sûr d’envoyer droit, je peux ouvrir la main ou montrer la direction choisie juste après le jet.

 

La roulette : sur terrain plat, roulant.

La boule tombe à moins de 3 m et roule

 

La demi-portée : la boule tombe plus loin.

 

La portée (plomber) : sur terrain sableux ou difficile (avec effet rétro pour que la boule s’arrête vite), la boule montre très haut pour retomber très près du but.
Le tir : position et geste

 

– Je tire debout.
– Je m’entraîne à tirer d’abord devant la boule : si je cherche à tirer trop fort, je ne serai pas précis.

 

La rafle, raspaille : je tire an faisant rouler ma boule.

 

Le tir devant : la boule touche le sol moins de 50cm devant la cible.

 

Le tir au fer : la boule atterrit directement sur la boule visée.

 

Le tir au carreau : la boule atterrit sur la boule visée et prend sa place.

 

La sautée : la boule lancée passe par-dessus une première boule et touche celle qui est juste après.
Le tir collé : je tape deux boules collées pour faire partir la deuxième. La force du tir sera transmise à la première boule touchée qui va pousser la suivante. Mes deux boules resteront sur place si mon tir a été bien droit.

 

 

Roy’s Holiday

 

 

 

 

Roy is playing with Sam and his bunny : Rêveur.

Roy discovers Fiona,  Sam’s dog.

Roy is riding horse with Mahana in Carmatran’s poney club.

Mahana and Roy are ready to go trick-or-treating ( and eat too much candy!)

Roy is eating pop corn in the Ice circus of the Zenith in Toulouse.

 

The sun is back ! Kamelia and Roy are happy.

Roy is playing with twins.