Handicap ?

Suite à la lecture suivie de Wonder dont nous verrons l’adaptation cinématographique, du  film « de toutes de nos forces » passé en classe,  nous avons reparlé du handicap ou de la notion de situation de handicap.

Nous avons d’abord cherché la définition donnée par les dictionnaires :
– Désavantage qui met une personne en état d’infériorité (exemple : la timidité) (Larousse junior).
– Déficience physique, sensorielle ou psychologique (exemple : handicap auditif) (Robert junior).
– Déficience physique ou mentale, congénitale ou acquise (Robert collège).

Nous avons ensuite mené une nouvelle discussion dont voici le résumé

Définition de l’O.M.S. (l’Organisation Mondiale de la Santé) : « Les handicaps sont un terme général qui qualifie des incapacités, une limitation des actes de la vie quotidienne et une participation restreinte à la vie sociale ».

Les incapacités peuvent être physiques (on peut avoir été amputé d’un bras), psychologiques (la personne peut avoir des dysfonctionnements au niveau du cerveau) ou sensorielles (la personne peut être sourde).

Différence entre « être handicapé » ou « avoir un handicap » et « être en situation de handicap » : la personne n’est pas tout le temps handicapée, elle peut faire des choses comme les personnes valides.
Avoir un handicap, on peut faire d’autres choses, être handicapé, on n’a que ça, on peut avoir tous les handicaps. Si on dit « être » handicapé, on enferme la personne dans ce handicap, on oublie tout ce qu’elle peut faire à côté.
En France, la loi aujourd’hui dit « en situation de handicap » : la personne est handicapée dans certaines situations mais elle peut aussi réussir comme tout le monde plein d’autres choses et donc être « normale ».
La société doit travailler à s’adapter aux personnes qui la composent, on est d’abord comme les autres, on est en situation de handicap par moments.
Le handicap amène à de nouveaux apprentissages, on va par exemple plus développer un sens. Nous aussi, nous pouvons nous sentir handicapés quand nous perdons nos repères.
Quand on va dans un pays étranger, on peut avoir des difficultés à communiquer, on peut être sujet au vertige en altitude, on peut avoir peur sur les manèges à sensations …
Le mot « handicap » englobe un tas de choses.

Extrait du début de WONDER, dont nous avons lu un extrait du livre et dont nous verrons le film en classe :
« Je ne suis pas un garçon de dix ans ordinaire, c’est certain. Oh, bien sûr, je fais des choses ordinaires. Je mange des glaces. Je fais du vélo. Je joue au ballon. J’ai une Xbox. Tout ça fait de moi un enfant comme les autres. Sans doute. Et puis je me sens normal. Au-dedans. N’empêche, lorsqu’un enfant ordinaire entre dans un square, les autres enfants ordinaires ne s’enfuient pas en hurlant. Quand un enfant est normal, les gens ne le fixent pas partout où il va. Voici mon idée : la seule raison pour laquelle je ne suis pas ordinaire, c’est que les autres me voient comme ça. » August

August nous fait comprendre que c’est d’abord le regard des autres qui crée la différence. Si on le regardait normalement, il ne serait pas en situation de handicap.

Etymologie du mot handicap : « handicap » emprunté en 1827, vient de l’expression anglaise HAND IN CAP signifiant « Main dans le chapeau ». Lors de jeux d’échanges d’objets personnels pratiqués en Grande Bretagne, un arbitre, évaluant le prix des objets, était chargé de surveiller l’équivalence des lots afin d’assurer l’égalité des chances des joueurs. Celui qui recevait un objet de valeur supérieure devait donc mettre une certaine somme d’argent dans un chapeau pour rétablir l’équilibre. Le terme est aussi utilisé en sport, notamment en hippisme où on attribue un handicap au plus fort pour rendre la course plus équitable.

Le maître nous a parlé de Philippe Croizon, nageur de l’extrême qui a traversé la Manche et rallié les cinq continents.
A 26 ans, il a été électrocuté et a perdu les bras et les jambes.

Nous avons visionné visionné 4 petits films dans lesquels Philippe Croizon présente 4 sportifs de haut niveau : Théo Curin, nageur ; Sandrine Martinet, judokate médaillée d’or à Rio; Souad Yamani, joueuse de tennis-fauteuil et Timothée Adolphe, coureur.

http://www.dailymotion.com/video/x2vwgrj_vismonsport-amandine-et-celian-decouvrent-la-natation-avec-theo-curin_lifestyle

http://www.dailymotion.com/video/x2ss041_vismonsport-justine-et-alice-decouvrent-l-athletisme-avec-timothee-adolphe_sport

http://www.dailymotion.com/video/x2o5c07_vismonsport-damien-et-lea-decouvrent-le-tennis-fauteuil-avec-souad-yamani_sport

http://www.dailymotion.com/video/x2m92dn_vismonsport-marie-et-arthur-decouvrent-le-judo-avec-sandrine-aurieres-martinet_lifestyle

On a parlé aussi d’Ibrahim Hamato, pongiste égyptien qui joue en tenant sa raquette dans la bouche et sert en lançant la balle avec son pied, d’Abdellatif Baka, algérien malvoyant médaillé d’or sur 1500 m qui a couru plus vite que les athlètes valides quelques jours plus tôt aux J.O., de Marie-Amélie Le Fur, double médaillée d’or à Rio, de Fabien Lamirault, médaillé d’or en tennis de table, parlé des différentes disciplines, …

« L’aide de l’autre m’est vitale et j’aime à la considérer comme un échange, un moment de partage. Pour les hommes, c‘est peut-être un peu plus compliqué car nous avons un sacré problème : l’orgueil ! » Philippe Croizon
Philippe a besoin d’une aide valide par moments et dans son sport mais les personnes qui l’aident partagent avec lui ses réussites, sa force, ses émotions. Chacun apprend de l’autre.
C’est compliqué : accepter l’aide est compliqué, peut-être aider aussi, car l’être humain est orgueilleux, fier, il n’aime pas montrer qu’il peut être plus faible, il n’aime pas demander de l’aide ou montrer ses sentiments.

« Mon handicap est spectaculaire. Pour qu’il s’estompe, je dois briser la glace. En racontant des blagues, en faisant le bouffon, cela devient possible. Concentrer tous les regards sur mon sourire. Mais l’humour à tout prix n’a pas de sens… Je contrôle sans cesse, dissimule pour leur laisser penser que je suis fort. » Philippe Croizon
Le handicap de Philippe est spectaculaire : il n’a plus de jambes et de bras, ça se voit bien, les autres peuvent montrer de l’étonnement, certains avoir peur.
Grâce à l’humour, Philippe a pu aussi affronter cela. Mais il ne suffit pas toujours d’en rire.

« Les personnes avec un handicap corporel, mental ou psychique sont très souvent confrontées aux inégalités, à la discrimination, parfois même au mépris. » Philippe Croizon
Les inégalités concernent l’accès aux lieux publics (depuis 2005, la loi sur le handicap permet de lutter contre ces inégalités, aux commerces, etc. Il faut aménager des rampes inclinées, installer des portes plus grandes, etc. pour que les personnes en situation de handicap puissent accéder à tout comme les autres.
La discrimination est dans le regard, le comportement des autres.
Les personnes en situation de handicap ont les mêmes droits que les autres.

« En traversant la Manche à la nage, je voulais démontrer que le handicap n’est pas une fatalité. Avec du courage et de la volonté chacun peut, qu’il soit valide ou non, repousser ses limites et accomplir de grandes choses. »Philippe Croizon
Chacun peut réussir ou essayer avec de la volonté.

« Sortir, c’est toujours se confronter au regard de l’autre. »
« L’ennemi absolu, c’est la pitié. » Alexandre Jollien

« Le regard des autres peut nous construire mais il peut nous nuire, condamner, blesser. »  Alexandre Jollien

« Maître, que dois-je faire pour devenir sage ?
– Tu n’as qu’à traîner derrière toi un hareng. » Diogène

Nous avons parlé du philosophe suisse Alexandre Jollien. Quand il est né, il s’est étranglé avec son cordon ombilical et son cerveau n’a pas été oxygéné correctement, il en a des séquelles, il a des difficultés motrices, des difficultés à articuler …
Il raconte l’histoire de Diogène, philosophe grec de l’Antiquité (500 ans avant Jésus-Christ) qui pour répondre à un de ses élèves qui lui demande comment faire pour devenir Sage, lui dit de marcher en traînant derrière lui un hareng …
Alexandre a l’impression de traîner derrière lui un poisson, un poisson imaginaire qui représente son handicap et que tout le monde regarde. Et lui se pose des questions. Il essaie de se détacher de son handicap, de ses souffrances, de dépasser cela pour montrer aux autres qu’il est normal.
Nous avons un effort à faire ou une conduite à tenir : ne pas nous retourner quand on croise une personne en situation de handicap, nous comporter normalement.

On dit souvent « Pauvre garçon ! », « Pauvre petit ! » mais être en situation de handicap n’empêche pas de rire, d’être joyeux. Le handicap, c’est du malheur quand on te regarde mal.
Il ne faut non plus en faire trop, les personnes en situation de handicap peuvent avoir besoin d’aide, elles peuvent avoir besoin d’un certain encadrement, c’est le cas par exemple quand elles sont accueillies en Maison d’Accueil Spécialisée comme à l’Association Marie-Louise ou pour certaines personnes âgées des Serpolets avec qui correspondons.

On ne doit pas forcer l’aide à apporter quand on côtoie une personne en situation de handicap.

Dans Wonder, August dit « Tout le monde mérite une ovation au moins une fois dans sa vie, parce que nous triomphons du monde. »
Nous pouvons tous être heureux ou malheureux, ce n’est pas le handicap qui fait le malheur ou le bonheur. Ça dépend aussi de comment nous sommes les uns avec les autres …
Nous sommes là, nous avons tous les mêmes droits, nous avons tous droit à la reconnaissance … Il n’y ni normal et ni pas normal, nous sommes tous ordinaires …

L’an dernier, Ninon avait présenté aussi deux documents qu’elle avait préparé sur Théo Curin :

Théo Curin Ninon

 

Les CM1

Haïkus d’automne

 

Une nuit d’automne
On voit l’étoile brillante
Dans la nuit sombre

Salomé

 

 

 

 

 

 

 

Le brouillard est là
Il y a des feuilles sèches
Je ne vois rien

 Gabriela

 

 

 

 

 

Je vois du brouillard
Les arbres nus sans feuilles
L’automne est bien là

Kamélia

 

 

 

 

 

Je vois quelqu’un gris
Perdu dans le brouillard gris
Un banc seul pour lui

Maël

 

 

 

 

 

 

 

 

Les oiseaux chantent
La journée en automne
Dans le brouillard

Mehdi

 

 

 

En CM1

 

Surnoms …

 

Nous avons lu en classe le roman « La Classe Arc-en-Ciel ». À la façon de l’auteur dès les premières lignes du roman, chacun a décrit 5 camarades de la classe en leur donnant un surnom « gentil » et choisissant un surnom pour soi-même.

 

 

 

Dans ma classe il y a … Le Maître son surnom c’est « le maitre sportif » car il fait du vélo, Gabin « le poulet » car il fait le poulet à la récréation, Gabrielle « la superstar » car c’est une star, Inès « la pipelette » car elle ne fait que parler, Emma « la styliste » car elle s’habille trop bien. Et il y a moi, tout le monde m’appelle « Vaïana » car je suis tahitienne.

Mahana

 

 

 

 

 

Dans ma classe il y a Emma « la rigolotte » parce que elle est rigolotte, « Inès disco » parce qu’elle danse tout le temps, « Lily turbo » parce qu’elle fait plein de choses même temps, « Hugo l’astro » parce qu’il est fan de planètes, et moi « Salomé pipelette » parce que je parle tout le temps.

Salomé    

 

 

 

 

Dans ma classe, il y a : « Gabi le mini », il est de petite taille mais il est sympa, « Hugo l’espace », il est passionné par les planètes et etc, « Amayou la chevalou », une fille qui adore les chevaux, « Quentin foot », il est fort au foot et il en est passionné, « Loan rugbyman », il fait du rugby et il aime ça. Et il y a moi, mes amis m’appellent « Maximus premium » je ne sais pas pourquoi….

Max

 

 

 

 

Dans ma classe il y a « Maël le turbo » qui va méga vite, « Hugo speedy » car c’est un pote et il est rapide, tout comme Gabin « le gamer », logique, il adore le gaming, Néa « le soleil », le soleil est beau comme elle ; il y a Loan « le sportif », il adore le rugby. Et il y a moi « le basketteur ».

Quentin R.

 

 

En CM1

 

Surnoms …

 

Nous avons lu en classe le roman « La Classe Arc-en-Ciel ». À la façon de l’auteur dès les premières lignes du roman, chacun a décrit 5 camarades de la classe en leur donnant un surnom « gentil » et choisissant un surnom pour soi-même.

 

 

 

Dans ma classe il y a Quentin « rigolo » car il fait rire tout le monde, tout comme Gabin « dormeur » car il veut toujours dormir. Ensuite il y a Max « le commentateur » car il fait un peu pareil que les commentateurs de foot. Il y a Hugo « l’astronaute » car il adore l’espace. Aussi il y a Sam « le collectionneur » car il collectionne tout. Et il y a moi « gel » car je mets toujours du gel.

Maël

 

 

 

 

 

Dans ma classe il y a :
– « Quentin le coquin » car il fait rigoler tout le monde.
– « Mahana la cavalière » car elle adore les chevaux.
– « Quentin met le turbo » car il court vite.
– « Hugo l’astronaute » car son rêve est d’aller dans l’espace.
– « Gabin le gamer » car il aime jouer aux jeux vidéo.
– Et moi « le gamer » car j’adore aussi les jeux vidéo.

Louka

 

 

 

 

 

 

 

Dans ma classe il y a « Gabrielle la choupinette », elle est choupinette parce qu’elle est gentille, « Néa la coquette » parce qu’elle est jolie, « Inès la rigolote », elle rigole et elle est de bonne humeur tous les jours, « Quentin le blagueur », il fait tout le temps des blagues, « Sam le danseur » parce que quand il y a de la musique il danse et il y a moi, je suis « mimi » parce que je suis mignonne.

Naomi

 

 

 

En CM1

 

 

Roy and Chloé

Monday, Roy discovers Judo. You can see my brother with Roy

Roy is watching my Covid Test.

 Roy with his  friend thebdrago share the famous  « galette des rois. »( King’s pie)

Roy does my homework.

                 Now, it’s  time to sleep…

Surnoms …

 

 

Nous avons lu en classe le roman « La Classe Arc-en-Ciel ». À la façon de l’auteur dès les premières lignes du roman, chacun a décrit 5 camarades de la classe en leur donnant un surnom « gentil » et choisissant un surnom pour lui-même.

 

 

Dans ma classe, il y a :
– Max « l’intelligent » : il connaît toutes les matières par cœur.
– Hugo « l’astronaute » : il adore l’espace, tu lui poses une question, il répondra.
– Quentin B « le footballeur » : il adore le foot.
– Quentin R « le rigolo » : parce qu’on rigole tout le temps avec lui.
– Noé « le rapido » : parce qu’il court vite.
– Moi « le dormeur » : moi j’adore dormir.

Mehdi

 

 

 

Dans ma classe il y a Inès « disco » car elle danse en classe, Louka le « kangourou » car il saute haut, Gabrielle le « cygne » car elle se déplace avec grâce, Mehdi le « ouististi » car il nous fait rire, Gabin « nounours » car il adore les câlins. Et puis il y a moi, Amaya « bouteille » car je ne fais que boire.

Amaya

 

 

 

Dans ma classe il y a Zoé « la motivée » toujours prête à faire des jeux, Quentin R. « le sportif », il aime le basket, Hugo « le cosmos » est passionné par l’espace, Lily « la rigolote », elle fait rire, Gabrielle « l’artiste », elle fait toujours de beaux dessins. Et il y a moi, « la danseuse », j’adore la danse.

Lia

 

 

 

 

Dans ma classe, il y a :
– Maël le « flipper » : il court partout.
– Hugo « l’astronaute » : il adore l’espace.
– Noé le « comique » : il est rigolo.
– Gabin le « gamer » : il adore les jeux vidéos.
– Quentin le « sportif » : j’adore le sport.

Quentin

 

En CM1

Roy, Inès

Live from the Christmas circus with the family.

Roy is sad, he couldn’t come with us to the snow, because he was sick and contagious!

Roy is happy! He eats cakes with Inès

What a joker this Roy! He hide in Christmas socks.

Homonymies

 

Poèmes écrits à 4 mains avec Dominique Montalieu et le maître (en « ping-pong » : l’élève écrit les premiers vers, l’adulte poursuit, l’élève termine)

 

Un vendeur de verre
Allait acheter un ver
Qui était bleu vert
Il alla vers
Un magasin de vers

Il vit un monsieur
Avec une moustache verte
Tout là-haut dans les cieux
Depuis l’est jusqu’à l’ouest

Et tout à coup il a vu
Une dame qui dansait la salsa
Ce n’était pas prévu
Il n’avait j’amais vu ça

Alors sa moustache du vert
Passa au rose
La danseuse le regarda de travers
Mais il n’eu fut pas morose !

Amaya

 

 

 

 

 

 

Mon père a perdu ses lunettes
Oui ! Toute la paire !
Il n’y voit plus très net
Oh ! Sacré père.
Il retrouve la carte.
Il plie la grande carte.
Il fait du kart.
Ma tasse se lie à la lie.
Je lis dans mon lit.
Mon père perd sa paire de lunettes.
Il va dans son lit lire un livre.
Le titre du livre est un chiffre pair.

Zoé

 

 

 

 

 

 

 

Le maître va chercher son mètre
Et va mettre les paires de clés
Devant monsieur le maire

Le maire part à la mer
Il y croise ma mère
Qui cherche mon père

Mon père était avec Homer
« Il se prend pour Bart ! »
S’écrièrent les commères
À la fenêtre de leur appart

Ma copine Rose
Adore les roses
Et elle voit la vie en rose

Emma                       

 

 

 

 

 

 

Ma mère dit à mon père:
« Chéri, j’ai perdu ma souris !
– Je viens d’en trouver une dans le secteur. »
Ma mère sourit:
« Chéri, tu sais bien que j’ai horreur des souris !
Celle que je cherche c’est celle de l’ordinateur. »

Mon père dit : « Je ne sais pas où j’ai mis mes chaussures double paire. »
Ma mère dit : « Tu ne les aurais pas oubliées à la mer ?
– Oui à la mer, et c’etait hier. »
Ma mère lui répondit :
« Alors ta double paire de souris
Ce n’est pas celle qui était dans le secteur ! »
Mon père sourit:
« Ne prends pas cela à la lettre, te dira le facteur ! »

Nous avons tous retrouvé nos affaires
Maintenant le plus dur reste à faire
Plus perdre les affaires et surtout la souris
D’ailleurs je viens de voir passer un petit bébé souris

Hugo