Archives de catégorie : Arts et littérature

L’eau dans Le naufrage de L’Espoir de Caspar David Friedrich

Titre : Le naufrage de l’Espoir
Artiste : Caspar David friedrich
Année : 1824
Forme d’art : peinture
Style : romantique
Dimensions : 96,7cmx126,9cm
Localisation : Kunstalle de Hambourg

Que voit-on ?

On voit en haut à droite un bateau échoué dans une mer gelée ainsi que plusieurs blocs de glace dispersés au milieu du tableau.

On remarque aussi plusieurs blocs pointant à gauche vers le ciel comme s’ils essayaient de nous montrer quelque chose que nous ne voyons pas. Presque toutes les lignes vont vers le haut et les couleurs sont sombres.

La signification de l’eau

Les blocs de glace donnent une certaine idée de la beauté par leurs couleurs pales et brillantes. Cette beauté est une beauté solitaire car il n’y a aucune trace de vie dans le paysage.

L’eau, dans sa forme solide, représente le danger parce qu’il y a une épave échouée sur les blocs pointus.

L’eau représente la mort parce qu’il n’y a aucune vie et que le paysage semble hostile à la présence de l’être humain.

 

(Maïli et Anna-Lucia, école de Ciadoux)

L’eau dans La Naissance de Vénus de Botticelli

Titre : La naissance de Vénus
Artiste : Sandro Botticelli
Genre : Renaissance
Forme d’art : Peinture
Localisation :  Galerie des Offices de Florence (Italie)
Quand? Environ 1485
Dimensions : 172, 5 cm x 278, 5 cm

  Au premier plan on voit Vénus, la déesse de l’amour et de la beauté chez les romains, étant nue et cachant la partie droite de sa poitrine. A sa droite, le dieu Zéphyr et sa femme Flore essaient de découvrir Vénus. Des fleurs tombent doucement sur Vénus. Les longs cheveux de Vénus lui servent à cacher son bassin. A sa gauche, le Titan Thémis essaye de couvrir Vénus malgré le vent.

La signification de l’eau

  L’eau représente dans ce tableau l’origine de la vie car on voit Vénus en train de naître dans un coquillage. Ici l’eau apparait donc comme quelque chose d’indispensable à la vie.

  L’eau est liée à l’idée de la beauté Puisqu’elle donne naissance à Vénus. Cette beauté est calme et sereine avec comme on peut le voir avec l’image de la mer. Le peintre a fait des motifs géométriques répétitifs, l’eau n’est donc pas réaliste mais représente ici une beauté idéale comme les arbres que l’on voit à droite.

(Adam et Lucas, école de Ciadoux)

L’eau dans La Prise de Constantinople par les Croisés

Titre : Prise de Constantinople par les croisés
Artiste : Eugène Delacroix
Technique
: peinture à l’huile sur toile
Dimensions
: 410 x 498cm
Localisation
: musée du Louvre (Paris)
Année
: 1840


  Au premier plan on voit les croisés à cheval qui attaquent les habitants de Constantinople. Un croisé est un chevalier chrétien occidental qui a participé aux croisades du Moyen-Age. Les croisades étaient organisées par l’ Église pour la délivrance de la Terre sainte (Jérusalem). Ils sont appelés croisés car ils ont une croix cousue sur leurs vêtements. Deux habitants essayent de protéger les villageois. Au milieu à droite on voit la ville de Constantinople en feu. Au milieu à gauche on voit des bateaux de croisés qui arrivent par la mer. A l’arrière plan on voit des montagnes, le temps est nuageux.

                                  La signification de l’eau :

  Dans ce tableau l’eau est un champ de bataille dans lequel on ressent de la tristesse à cause des nuances de bleu terne. L ‘eau n’est pas peinte avec des couleurs vives. On remarque aussi que le danger arrive par l’eau. On ressent de la peur à cause des soldats qui mettent le feu à Constantinople.

(Mattéo et Jason, école de Ciadoux)

Les 6èmes à la maternelle

Peu avant les vacances, les élèves de 6A ont fait un petit spectacle de marionnettes pour les enfants de la maternelle de Boulogne. Petits et grands ont passé un bon moment. A l’instar de la conteuse qui était intervenue au collège en janvier, les 6èmes ont raconté des contes traditionnels : Jeannot et Margot ; La lumière bleue ; Margot la malice ; Antonin et Le petit chaperon rouge. Ils ont transmis, à leur tout, la formule magique :

Cric Crac Croc, Cric, Crac, Croc, Cric, Crac, Croc

Le cricri de la crique crie son cri cru et critique
Car il craint que l’escroc ne le craque et ne le croque !

L’eau dans Le Radeau de la Méduse

Titre : Le radeau de la Méduse
Nom du peintre :Théodore Géricault
Date :1818-1819
Technique : peinture à l’ huile
Dimension491 x 716 cm
Mouvement 
: romantisme
Localisation
Musée du Louvre (Paris)

  Au premier plan on voit un radeau qui a été construit suite au naufrage du navire La Méduse Amirale (le 2 juillet 1816), sur lequel se trouvent des survivants et quelques morts. Au deuxième plan comme sur les côtés nous observons une mer enragée et sur le côté gauche une grosse vague approche.
Au loin, un bateau semble arriver. Deux hommes essaient de faire signe au bateau.
Il y a plusieurs couleurs de nuages.

La signification de l’eau

  L’eau donne une impression de danger car il y a une grosse vague qui menace le radeau.
  La violence est représentée par les nombreux dégâts, comme le mât cassé retenu par des cordes.
  L’espoir est représenté par un homme qui avertit les survivants de l’arrivée d’un bateau. Ce qui donne aux naufragés une chance de survivre.

Ce que l’on ressent

  On ressent de la tristesse dans le regard inquiet des personnages qui cherchent de l’espoir et de la peur à cause de leur agitation.
L’idée de mort se voit dans ce tableau à cause de la présence de cadavres.
On ressent que l’on est à un moment décisif : si la vague les emporte leur fin est proche, si le bateau les voit ils sont sauvés.

(Sasha et Noa, école de Ciadoux)

Contes traditionnels pour les élèves de Boulogne

Contes traditionnels pour les élèves Boulonnais

Un lundi après midi d’école. Les élèves de sixième du collège Charles Suran et ceux du cours moyen de l’école voisine ont été regroupés dans la bibliothèque. A l’initiative de leur professeur de Français et de la documentaliste de l’établissement, Brigitte Mondini est venue partager sa passion et conter ses histoires. Ce n’est pas toujours facile de captiver l’unanimité d’un public scolaire. Histoires diaboliques ou féériques. Des contes traditionnels ariégeois. Cric, crac, croc…, la magie a opéré. Le public s’est régalé, bu les paroles, dévoré les histoires. Comment la combe d’Orlu s’est-elle comblée d’eau, comment le diable lui-même a été trompé après avoir crée le pont qui porte son nom. Une chose est sûre, les histoires imaginaires de la conteuse ont plu. Les élèves sont repartis la tête enrichie de rêves et très certainement capables, à leur tour, de transmettre la tradition.

Ecole élémentaire de Boulogne – Classes de 6ème