« Si on veut travailler efficacement sur la thématique du décrochage scolaire, du début de la maternelle jusqu’au lycée, il faut commencer par dénaturaliser cette question ».
Jacques BERNARDIN (président du GFEN), dans cet entretien, montre comment le fait de regarder la difficulté scolaire non pas comme le propre de certains élèves mais comme le propre des situations pédagogiques et didactiques proposées, redonne aux enseignants, aux formateurs et aux pilotes du pouvoir d’agir en revisitant les pratiques ordinaires de la classe.
Un dossier à retrouver sur le site de l’Institut Français de l’Éducation.