Du laboratoire à la salle de classe : l’exemple de la dyspraxie.

Caroline Huron, psychiatre de formation, chargée de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) définit la dyspraxie en insistant sur le symptôme phare : l’écriture.

À partir d’études en laboratoire, elle énumère les difficultés rencontrées à l’école au niveau cognitif, celles liées à la numération et, plus importantes encore, les difficultés liées à la vie courante. Il existe cependant des solutions pour aider l’enfant dyspraxique en adaptant son environnement et en lui apportant des outils numériques adaptés.

Intervention réalisée le 21 novembre 2019 lors d’un séminaire de la formation statutaire des personnels de direction et inspecteurs.

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