Rentrée scolaire 2021-2022

La rentrée scolaire est toute proche et l’équipe enseignante se prépare à accueillir les élèves avec notre plus beau sourire, dissimulé sous notre masque.

Nous accueillerons les élèves ce jeudi 2 septembre entre 8h50 et 9h00. Pensez à ne pas être en retard pour ce premier jour et à réactiver le réveil !

Les élèves devront revêtir leur plus beau masque dit « grand public » et respecter les gestes barrières.

Les listes des classes seront affichées devant l’école à partir de mardi 31 août.

SEULS LES PARENTS DE CP POURRONT ACCOMPAGNER LEUR ENFANT JUSQU’A LA PORTE DE LEUR CLASSE

La mise en place d’un projet d’accueil individualisé (PAI)

Objectifs du PAI

Le projet d’accueil individualisé définit les adaptations apportées à la scolarité de l’enfant : régimes alimentaires, aménagements d’horaires, dispenses de certaines activités et activités de substitution. Il peut être élaboré pour permettre aux élèves atteints de troubles de la santé évoluant sur une longue période de poursuivre leur scolarité.

Il s’agit d’un document écrit qui répertorie, pour les élèves, les traitements et/ou les régimes médicaux. Au besoin, il précise les aménagements de la scolarité en lien avec l’état de santé, par exemple pour un contrôle régulier de la glycémie.

L’asthme et l’allergie sont à l’origine de 63% des PAI demandés, suivis du diabète et de l’épilepsie.

Bénéficier d’un PAI

Le directeur d’école élabore ce projet à la demande des parents, avec le médecin scolaire, en lien avec le médecin qui suit l’enfant. Chaque personne s’engageant à participer à son application est invitée à signer le PAI.

La demande de PAI est faite par la famille, ou proposée par le directeur d’école, toujours en accord et avec la participation de la famille.

Si c’est une première demande de PAI, la famille demande un formulaire au directeur.

Si un PAI était déjà en place l’année précédente, une simple ordonnance du médecin suffit, accompagnée, si besoin, du médicament prescrit.

Occuper les enfants : des histoires à écouter

Le temps risque d’être long pendant le confinement.

Pour occuper les enfants, voici des sites Internet qui proposent gratuitement des histoires à leur faire écouter.

MYTHES ET LEGENDES (à partir de 7 ans – les mythes et légendes du monde entier),

DES HISTOIRES EN MUSIQUE (à partir de 3 ans – Raiponce, Baba Yaga et bien d’autres contes),

LES ODYSSEES (de 7 à 12 ans – des biographies d’explorateurs ou de personnages célèbres),

… et 2 sites proposant des adaptations de grands classiques de la BD (à partir de 7 ans) :

ASTERIX ET OBELIX,

LES AVENTURES DE TINTIN.

A noter que sur certaines de ces adresses, vous trouverez d’autres histoires à écouter (Le petit Nicolas, Peter Pan, …).

Cet article s’inspire d’une publication de Télérama trouvable à cette adresse.

Bonne écoute…

Le coronavirus : en parler aux enfants

Le journal Le Monde vient de publier un article le fait d’aborder le coronavirus avec les plus jeunes.

La partie la plus intéressante me semble être la suivante :

« Le plus important, c’est de donner aux plus jeunes un message simple, confirme Hervé Magnin, psychothérapeute comportementaliste en Savoie, auteur de Surmonter ses peurs (Jouvence, 2008). La peur a tendance à engendrer un évitement de l’information. Or, c’est sur la base de l’ignorance que la peur se développe. » « Il s’agit de répondre à toutes leurs questions. Quand ils sont petits, on peut leur demander ce qu’ils en pensent pour ne pas projeter sur eux des idées qu’ils n’ont pas, complète Béatrice Copper-Royer, psychologue clinicienne à Paris. Et il s’agit d’essayer de filtrer ses émotions. »

Dans son cabinet de Nanterre (Hauts-de-Seine), la psychologue clinicienne Aline Nativel Id Hammou voit des enfants et des adolescents surtout inquiets du comportement des adultes. « Ils ne comprennent pas certains effets de panique de leurs parents ou les nouvelles injonctions d’hygiène – “lave-toi les mains”, “ne fais plus de bisous aux copains”, “ne touche pas ton frère”. Et ils s’aperçoivent que les adultes ne savent pas trop, ce qui peut être angoissant. »

Pour parler aux plus jeunes, elle recommande de passer par le dessin, le jeu et les histoires romancées. « On peut raconter l’histoire du roi virus qui veut conquérir le monde et affronte des bataillons de médecins, propose-t-elle. Et rappeler qu’on guérit de la maladie, surtout chez les enfants et les jeunes adultes. » Béatrice Copper-Royer ne les voit « pas affolés » : « Ce n’est pas comme après les attentats, qui avaient eu un impact très fort sur leur imaginaire. »

Vous pouvez trouver l’intégralité du texte ici.