Pour  commencer la  journée, nous  avons  pris le bus à 8h25. J’étais à côté de Aubane. Nous   sommes allés au musée de la fondation  Bemberg. Je n’ai  pas aimé rester assise  car cela faisait mal  quand on se levait, sinon ce n’était pas mal. Nous avons vu beaucoup d’œuvres, mais nous n’avons pas tout vu. J’aurais aimé tout voir mais… NON, on n’a pas pu. Dommage ! Je n’aimais pas la salle « Venise ». Les autres étaient superbes. J’ai retenu quelques noms de peintres: Caillebotte, Sisley, Hooch, Carriera, Baschenis, etc… Il y avait des portraits, ce sont des peintures qui représentent une personne réelle qui pose; une scène de genre représente la vie quotidienne; une nature morte est un animal mort ou quelque chose qui ne bouge pas (un humain mort n’est pas une nature morte) ; des peintures historiques sont des peintures qui représentent un moment précis qui s’est passé dans l’histoire; les paysages sont des tableaux qui représentent la nature ou la ville où les personnages ne sont que des décors. En visitant le musée, nous avons rempli des questionnaires. Ensuite, nous sommes partis.

Nous sommes allés manger au jardin des plantes. Puis nous avons joué aux jeux du jardin. Il y avait un tourniquet, des balançoires pour les petits et une énorme aire de jeux pour les grands. Pour finir la journée nous sommes allés au théâtre du Grand Rond:

• Le titre de la pièce: Blanche;
• les personnages principaux: Youhai, Pépé Lulu, peut être Lucien, et Mémé Blanche.
• Résumé: Cette histoire parle d’une grand-mère appelée Mémé Blanche et de sa petite fille appelée Youhai (En fait c’était son surnom), elle a 10 ans, elle est au CM2 avant sa rentrée en 6ème. Son grand-père (pépé Lulu) est mort. Youhai lui parle toujours. Un jour elle se rend compte que sa grand-mère perd la tête !
• Mon avis: J’ai bien aimé l’interprétation des actrices car elles articulaient bien et Mémé Blanche jouait drôlement bien son rôle. Mais, sinon, je n’ai pas aimé l’histoire car il n’y avait pas assez d’actions.

Puis, nous sommes rentrés avec le bus dans lequel j’étais à côté de Aubane.

LISA