Travail de mémoire

 

Jeudi dernier, les classes de CM1 et CM2 ont reçu la visite de membres du Souvenir Français qui sont venus présenter un exposé sur la seconde guerre mondiale et discuter sur le travail de mémoire et son importance, merci à eux pour cet échange très instructif.

Le Souvenir Français — Gardien de notre Mémoire (le-souvenir-francais.fr

(cliquer sur le lien)

 

 

 

Cérémonie

Ce matin a eu lieu la cérémonie commémorative du 8 mai 1945. Enfants, familles, personnalités politiques, autorités, étaient présents pour cet évènement important.

 

 

Les élèves du CM1 ou chanté le Chant des Partisans et ont lu « J’y suis pour rien », texte de Gauvin Sers, chanteur engagé, l’engagement est bien une qualité honorée lors de ces cérémonies commémoratives, particulièrement cette année avec les tristes évènements qui ont frappé aux portes de l’Europe …

Le Chant des Partisans :

https://ahp.li/5a73d8138834362d695e.wav

(cliquer sur le lien, la mise en « mémoire tampon » peut prendre quelques instants, le vent a un peu perturbé la prise de son)

« J’y suis pour rien » : 

J’y suis pour rien Gauvin Sers

Bravo aux enfants pour leur engagement et leur investissement.

Histoire du Premier mai

Aujourd’hui, la fête du Travail (ou fête des Travailleurs) est commémorée par un jour chômé le 1er mai dans la plupart des pays ayant institué une telle fête… mais pas dans tous.
En France, dès 1793, une fête du Travail est fixée le 1er pluviôse (en janvier), et fut instituée pendant quelques années par Fabre d’Églantine.

Aux Etats-Unis, au cours de leur congrès de 1884, les syndicats se donnent deux ans pour imposer aux patrons une limitation de la journée de travail à huit heures. Ils choisissent de débuter leur action le 1er mai parce que beaucoup d’entreprises américaines entament ce jour-là leur année comptable, et que les contrats ont leur terme ce jour-là. C’est ainsi que le 1er mai 1886, la pression syndicale permet à environ 200 000 travailleurs d’obtenir la journée de huit heures. D’autres travailleurs, dont les patrons n’ont pas accepté cette revendication, entament une grève générale. Ils sont environ 340 000 dans tout le pays. Le 3 mai, une manifestation fait trois morts parmi les grévistes à Chicago. Le lendemain a lieu une marche de protestation et dans la soirée, il ne reste plus que 200 manifestants face à autant de policiers. C’est alors qu’une bombe explose devant les forces de l’ordre. Elle fait un mort dans les rangs de la police. Sept autres policiers sont tués dans la bagarre qui s’ensuit. À la suite de cet attentat, cinq syndicalistes anarchistes sont condamnés à mort ; quatre seront pendus le vendredi 11 novembre 1887 (connu depuis comme Black Friday ou vendredi noir) malgré l’inexistence de preuves, le dernier s’étant suicidé dans sa cellule. Trois autres sont condamnés à perpétuité. Sur une stèle du cimetière de Waldheim, à Chicago, sont inscrites les dernières paroles de l’un des condamnés: « Le jour viendra où notre silence sera plus puissant que les voix que vous étranglez aujourd’hui. »

Trois ans plus tard, la 2ème Internationale socialiste se réunit à Paris pour le centenaire de la Révolution française et l’exposition universelle. Elle décide de faire de chaque 1er mai une journée de manifestation avec pour objectif la réduction de la journée de travail à huit heures (soit 48 heures hebdomadaires, le dimanche seul étant chômé).

 

Le 1er mai 1891, à Fourmies, dans le Nord, la manifestation tourne au drame : la police tire sur les ouvriers et fait neuf morts. Avec ce nouveau drame, le 1er mai s’enracine dans la tradition de lutte des ouvriers européens.

En 1920, la Russie bolchevique décide que le 1er mai sera désormais chômé et deviendra la fête légale des travailleurs. Son exemple est suivi dans la plupart des autres pays.

 

Pie XII institue en 1955 la fête de saint Joseph artisan, destinée à être célébrée le 1er mai de chaque année.

 

En France, au début du XXe siècle, il devient habituel, à l’occasion du 1er mai, d’offrir un brin de muguet, symbole du printemps en Île de France. Une tolérance de l’administration fiscale permet aux particuliers et aux organisations de travailleurs de vendre les brins de muguet sans formalités ni taxes.

Le 23 avril 1919, le sénat ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant une journée chômée.

 

Le 24 avril 1941, pendant l’occupation allemande, le Maréchal Pétain instaure officiellement le 1er mai comme « la fête du Travail et de la Concorde sociale ». Ce jour devient chômé. La fleur de muguet va en devenir le symbole, remplaçant la fleur rouge d’églantine, symbole révolutionnaire.

 

En 1947, le 1er mai devient de droit un jour férié chômé et payé pour tous les salariés sans conditions (art. L. 222-6 du code du travail français); mais il n’est pas officiellement désigné comme fête du Travail). Ce n’est que le 29 avril 1948 qu’est officialisée la dénomination « fête du Travail » pour le 1er mai.

 

Élections, politique, partis ?

 

Les élections présidentielles, la politique, les partis, expliqués dans des petites vidéos très bien conçues par 1 jour1actu :

https://www.1jour1actu.com/enseignants/une-selection-de-videos-pour-expliquer-lelection-presidentielle-aux-enfants?utm_medium=email&utm_source=newsletter&utm_campaign=NLJAC_52-2022-04-01-jac&utm_content=+20220401

 

Phrases pour réfléchir

 

« L’humanité est maudite si, pour faire preuve de courage, elle est condamnée à tuer éternellement. »
Jean Jaurès

“Tous les vices ressemblent à la guerre, toujours menaçante, toujours évitable.”
Alain

“Rien ne justifie la guerre. Jamais.”
René Barjavel

“Même s’il est sincère, aucun rêve jamais ne mérite une guerre.”
Jacques Brel

“Dans une guerre, quel que soit le camp qui puisse se déclarer vainqueur, il n’y a pas de gagnants, il n’y a que des perdants.”
Sir Arthur Neville Chamberlain

Handicap ?

Suite à la lecture suivie de Wonder dont nous verrons l’adaptation cinématographique, du  film « de toutes de nos forces » passé en classe,  nous avons reparlé du handicap ou de la notion de situation de handicap.

Nous avons d’abord cherché la définition donnée par les dictionnaires :
– Désavantage qui met une personne en état d’infériorité (exemple : la timidité) (Larousse junior).
– Déficience physique, sensorielle ou psychologique (exemple : handicap auditif) (Robert junior).
– Déficience physique ou mentale, congénitale ou acquise (Robert collège).

Nous avons ensuite mené une nouvelle discussion dont voici le résumé

Définition de l’O.M.S. (l’Organisation Mondiale de la Santé) : « Les handicaps sont un terme général qui qualifie des incapacités, une limitation des actes de la vie quotidienne et une participation restreinte à la vie sociale ».

Les incapacités peuvent être physiques (on peut avoir été amputé d’un bras), psychologiques (la personne peut avoir des dysfonctionnements au niveau du cerveau) ou sensorielles (la personne peut être sourde).

Différence entre « être handicapé » ou « avoir un handicap » et « être en situation de handicap » : la personne n’est pas tout le temps handicapée, elle peut faire des choses comme les personnes valides.
Avoir un handicap, on peut faire d’autres choses, être handicapé, on n’a que ça, on peut avoir tous les handicaps. Si on dit « être » handicapé, on enferme la personne dans ce handicap, on oublie tout ce qu’elle peut faire à côté.
En France, la loi aujourd’hui dit « en situation de handicap » : la personne est handicapée dans certaines situations mais elle peut aussi réussir comme tout le monde plein d’autres choses et donc être « normale ».
La société doit travailler à s’adapter aux personnes qui la composent, on est d’abord comme les autres, on est en situation de handicap par moments.
Le handicap amène à de nouveaux apprentissages, on va par exemple plus développer un sens. Nous aussi, nous pouvons nous sentir handicapés quand nous perdons nos repères.
Quand on va dans un pays étranger, on peut avoir des difficultés à communiquer, on peut être sujet au vertige en altitude, on peut avoir peur sur les manèges à sensations …
Le mot « handicap » englobe un tas de choses.

Extrait du début de WONDER, dont nous avons lu un extrait du livre et dont nous verrons le film en classe :
« Je ne suis pas un garçon de dix ans ordinaire, c’est certain. Oh, bien sûr, je fais des choses ordinaires. Je mange des glaces. Je fais du vélo. Je joue au ballon. J’ai une Xbox. Tout ça fait de moi un enfant comme les autres. Sans doute. Et puis je me sens normal. Au-dedans. N’empêche, lorsqu’un enfant ordinaire entre dans un square, les autres enfants ordinaires ne s’enfuient pas en hurlant. Quand un enfant est normal, les gens ne le fixent pas partout où il va. Voici mon idée : la seule raison pour laquelle je ne suis pas ordinaire, c’est que les autres me voient comme ça. » August

August nous fait comprendre que c’est d’abord le regard des autres qui crée la différence. Si on le regardait normalement, il ne serait pas en situation de handicap.

Etymologie du mot handicap : « handicap » emprunté en 1827, vient de l’expression anglaise HAND IN CAP signifiant « Main dans le chapeau ». Lors de jeux d’échanges d’objets personnels pratiqués en Grande Bretagne, un arbitre, évaluant le prix des objets, était chargé de surveiller l’équivalence des lots afin d’assurer l’égalité des chances des joueurs. Celui qui recevait un objet de valeur supérieure devait donc mettre une certaine somme d’argent dans un chapeau pour rétablir l’équilibre. Le terme est aussi utilisé en sport, notamment en hippisme où on attribue un handicap au plus fort pour rendre la course plus équitable.

Le maître nous a parlé de Philippe Croizon, nageur de l’extrême qui a traversé la Manche et rallié les cinq continents.
A 26 ans, il a été électrocuté et a perdu les bras et les jambes.

Nous avons visionné visionné 4 petits films dans lesquels Philippe Croizon présente 4 sportifs de haut niveau : Théo Curin, nageur ; Sandrine Martinet, judokate médaillée d’or à Rio; Souad Yamani, joueuse de tennis-fauteuil et Timothée Adolphe, coureur.

http://www.dailymotion.com/video/x2vwgrj_vismonsport-amandine-et-celian-decouvrent-la-natation-avec-theo-curin_lifestyle

http://www.dailymotion.com/video/x2ss041_vismonsport-justine-et-alice-decouvrent-l-athletisme-avec-timothee-adolphe_sport

http://www.dailymotion.com/video/x2o5c07_vismonsport-damien-et-lea-decouvrent-le-tennis-fauteuil-avec-souad-yamani_sport

http://www.dailymotion.com/video/x2m92dn_vismonsport-marie-et-arthur-decouvrent-le-judo-avec-sandrine-aurieres-martinet_lifestyle

On a parlé aussi d’Ibrahim Hamato, pongiste égyptien qui joue en tenant sa raquette dans la bouche et sert en lançant la balle avec son pied, d’Abdellatif Baka, algérien malvoyant médaillé d’or sur 1500 m qui a couru plus vite que les athlètes valides quelques jours plus tôt aux J.O., de Marie-Amélie Le Fur, double médaillée d’or à Rio, de Fabien Lamirault, médaillé d’or en tennis de table, parlé des différentes disciplines, …

« L’aide de l’autre m’est vitale et j’aime à la considérer comme un échange, un moment de partage. Pour les hommes, c‘est peut-être un peu plus compliqué car nous avons un sacré problème : l’orgueil ! » Philippe Croizon
Philippe a besoin d’une aide valide par moments et dans son sport mais les personnes qui l’aident partagent avec lui ses réussites, sa force, ses émotions. Chacun apprend de l’autre.
C’est compliqué : accepter l’aide est compliqué, peut-être aider aussi, car l’être humain est orgueilleux, fier, il n’aime pas montrer qu’il peut être plus faible, il n’aime pas demander de l’aide ou montrer ses sentiments.

« Mon handicap est spectaculaire. Pour qu’il s’estompe, je dois briser la glace. En racontant des blagues, en faisant le bouffon, cela devient possible. Concentrer tous les regards sur mon sourire. Mais l’humour à tout prix n’a pas de sens… Je contrôle sans cesse, dissimule pour leur laisser penser que je suis fort. » Philippe Croizon
Le handicap de Philippe est spectaculaire : il n’a plus de jambes et de bras, ça se voit bien, les autres peuvent montrer de l’étonnement, certains avoir peur.
Grâce à l’humour, Philippe a pu aussi affronter cela. Mais il ne suffit pas toujours d’en rire.

« Les personnes avec un handicap corporel, mental ou psychique sont très souvent confrontées aux inégalités, à la discrimination, parfois même au mépris. » Philippe Croizon
Les inégalités concernent l’accès aux lieux publics (depuis 2005, la loi sur le handicap permet de lutter contre ces inégalités, aux commerces, etc. Il faut aménager des rampes inclinées, installer des portes plus grandes, etc. pour que les personnes en situation de handicap puissent accéder à tout comme les autres.
La discrimination est dans le regard, le comportement des autres.
Les personnes en situation de handicap ont les mêmes droits que les autres.

« En traversant la Manche à la nage, je voulais démontrer que le handicap n’est pas une fatalité. Avec du courage et de la volonté chacun peut, qu’il soit valide ou non, repousser ses limites et accomplir de grandes choses. »Philippe Croizon
Chacun peut réussir ou essayer avec de la volonté.

« Sortir, c’est toujours se confronter au regard de l’autre. »
« L’ennemi absolu, c’est la pitié. » Alexandre Jollien

« Le regard des autres peut nous construire mais il peut nous nuire, condamner, blesser. »  Alexandre Jollien

« Maître, que dois-je faire pour devenir sage ?
– Tu n’as qu’à traîner derrière toi un hareng. » Diogène

Nous avons parlé du philosophe suisse Alexandre Jollien. Quand il est né, il s’est étranglé avec son cordon ombilical et son cerveau n’a pas été oxygéné correctement, il en a des séquelles, il a des difficultés motrices, des difficultés à articuler …
Il raconte l’histoire de Diogène, philosophe grec de l’Antiquité (500 ans avant Jésus-Christ) qui pour répondre à un de ses élèves qui lui demande comment faire pour devenir Sage, lui dit de marcher en traînant derrière lui un hareng …
Alexandre a l’impression de traîner derrière lui un poisson, un poisson imaginaire qui représente son handicap et que tout le monde regarde. Et lui se pose des questions. Il essaie de se détacher de son handicap, de ses souffrances, de dépasser cela pour montrer aux autres qu’il est normal.
Nous avons un effort à faire ou une conduite à tenir : ne pas nous retourner quand on croise une personne en situation de handicap, nous comporter normalement.

On dit souvent « Pauvre garçon ! », « Pauvre petit ! » mais être en situation de handicap n’empêche pas de rire, d’être joyeux. Le handicap, c’est du malheur quand on te regarde mal.
Il ne faut non plus en faire trop, les personnes en situation de handicap peuvent avoir besoin d’aide, elles peuvent avoir besoin d’un certain encadrement, c’est le cas par exemple quand elles sont accueillies en Maison d’Accueil Spécialisée comme à l’Association Marie-Louise ou pour certaines personnes âgées des Serpolets avec qui correspondons.

On ne doit pas forcer l’aide à apporter quand on côtoie une personne en situation de handicap.

Dans Wonder, August dit « Tout le monde mérite une ovation au moins une fois dans sa vie, parce que nous triomphons du monde. »
Nous pouvons tous être heureux ou malheureux, ce n’est pas le handicap qui fait le malheur ou le bonheur. Ça dépend aussi de comment nous sommes les uns avec les autres …
Nous sommes là, nous avons tous les mêmes droits, nous avons tous droit à la reconnaissance … Il n’y ni normal et ni pas normal, nous sommes tous ordinaires …

L’an dernier, Ninon avait présenté aussi deux documents qu’elle avait préparé sur Théo Curin :

Théo Curin Ninon

 

Les CM1

De toutes nos forces

Nous menons en classe un travail sur le handicap.

Lors de nos séances de pétanque, nous avons pu rencontrer des résidents de la M.A.S. des Marronniers de Cépet. Nous avons ensuite reçu Madame DURAUD, éducatrice, et Madame PEZZALI, Psychologue, qui y travaillent toutes les deux, elles nous ont parlé de ce foyer de vie qui accueille des adultes en situation de handicap.

Nous avons vu en classe juste avant les vacances le très beau film « De toutes nos forces »

Comme tous les adolescents, Julien rêve d’aventures et de sensations fortes. Mais lorsqu’on vit dans un fauteuil roulant, ces rêves-là sont difficilement réalisables. Pour y parvenir, il met au défi son père de concourir au triathlon « Ironman » de Nice : une des épreuves sportives les plus difficiles qui soit. Autour d’eux, c’est toute une famille qui va se reconstruire pour tenter d’aller au bout de cet incroyable exploit.

 

 

 

 

Extraits de la conversation qui a suivi :

https://ahp.li/59dd7c00b9d99159d41d.wav

(cliquez sur le lien, la mise en mémoire tampon peut durer quelques instants)

Nous allons continuer ce travail en nous intéressant au sport, le maître va nous présenter des sportifs de haut niveau et nous allons lire en classe le très beau livre « Wonder » dont nous verrons ensuite la très réussie adaptation cinématographique

En CM1

 

 

 

Handicap ?

Dans le cadre du travail que nous allons mener en classe sur le handicap, nous avons reçu en classe ce matin Madame DURAUD, Éducatrice, et Madame PEZZALI, Psychologue, qui travaillent toutes les deux à la Maison d’Accueil Spécialisée Les Marronniers de notre commune.

Toutes les deux nous ont parlé de ce foyer de vie qui accueille des adultes en situation de handicap.
Nous avons déjà rencontré, lorsque nous nous rendons au boulodrome municipal, des résidents de la M.A.S. et nous aurons d’autres échanges.

La discussion a été très riche, nous reprendrons très bientôt notre travail sur ce sujet.

Roy, notre mascotte anglaise, a pu visiter le foyer et nous ramener quelques photos des lieux ou de matériels adaptés.

 

 

 

 

Phrases pour réfléchir

Ce matin, en classe, nous avons discuté de nos droits et de nos devoirs …

Extraits de la discussion :

 

(cliquez sur le lien, la mise en mémoire tampon peut durer quelques instants)

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. » (Article 1er de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789

« La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. » (John Stuart Mill, philosophe anglais du XIXème siècle)

« La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent. » (Montesquieu, écrivain, philosophe français du XVIIIème siècle)

Pour pouvoir vivre en communauté, en société, il faut respecter des règles, il faut un équilibre raisonnable entre nos droits et nos devoirs.

Ensuite, le maître et la maîtresse nous ont présenté des valeurs qui, pour eux, sont importantes à acquérir, à appliquer. Nous en avons aussi discuté.

Extraits de la discussion :

(cliquer sur le lien, la mise en mémoire tampon peut durer quelques instants)

En CM1